Cette année, Lauzon Autosport s’est assuré de la collaboration de l’artiste Mario Adornetto pour concevoir le look sa nouvelle voiture de course selon la technique de « STET » imaginée par Hervé Poulain en 1975. Le concept consiste à associer la performance des voitures de course au design et à l’art. Plusieurs créateurs, dont David Hockney, Jenny Holzer, Frank Stella et Andy Warhol ont déjà participé à ce type de projet.
J’ai eu l’idée de créer une oeuvre représentant le faciès d’un lion déterminé, prêt à se lancer dans la course, explique Adornetto. L’œuvre originale a été conçue sur une toile de 54po x 54po et peinte directement à la spatule et au couteau. J’ai voulu que la Bête arbore les couleurs vives et éclatantes de la Porsche GT3 : un mélange de rouge feu, orange lave, jaune racing, bleu Miami, vert lézard et une touche de couleur craie. »
« Lorsque Geneviève Lauzon, vice-présidente du Marketing et de l’Expérience
Dans le langage populaire québécois, la shed, mot emprunté à l’anglais, c’est le hangar, la remise dans laquelle on entrepose tout ce qui ne nous sert plus. C’est aussi le lieu où nous allions parfois jouer ou se protéger de la pluie quand nous étions petits. Un endroit familier faisant partie du quotidien. C’est dans cette volonté de se rapprocher de ses clients que La Shed a été créée : ramener l’architecture à l’échelle humaine.
Mise sur pied par trois jeunes architectes (Sébastien Parent, Yannick Laurin et Renée Mailhot), la jeune firme se spécialise dans la rénovation et la transformation d’immeubles. Elle a su rapidement se démarquer avec une approche actuelle dont la lecture demeure accessible à tous. Pas besoin d’une maîtrise en architecture pour comprendre la vision pure et lumineuse qui est insufflée à leurs transformations.
L’approche des architectes mise sur le dialogue, pour ainsi développer une complicité, clé de voûte du bon déroulement de chaque proje
Dès l’ouverture de sa bijouterie en 1959, Pino Miserendino a offert un service de pièces sur mesure. Le maître horloger connaissait tous les secrets de la fabrication d’un bijou. Sa fille Paola poursuit cette tradition depuis déjà 30 ans. Celle qui observait son père dès l’âge de 3 ans a su suivre sa trace et ses précieux conseils.
Votre père devait être très heureux de vous voir poursuivre la tradition qu’il avait instaurée ?
Oui, il était très fier que je continue! C’est d’ailleurs lui qui voulait que j’aille à l’école de joaillerie pendant trois ans malgré mon expérience acquise à l’avoir vu travailler pendant toutes ces années. Il m’a dit : « Quand un jour l’un des ouvriers viendra te dire que ce projet n’est